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Télégramme du 14 avril 2017

  • Photo du rédacteur: PARC
    PARC
  • 14 avr. 2017
  • 2 min de lecture

Rugby. Fédérale 3 (play-offs). Plouzané AC - Rac Auray

Auray va chercher la cerise à Plouzané

Vainqueur 26-17 du match aller du premier tour des play-offs de Fédérale 3, Auray n'aura rien à perdre mais bien tout à gagner lors du match retour sur le pré du favori plouzanéen, dimanche

Dimanche, le Rugby Auray Club sera privé de son pilier Brendan Laigo, aide-soignant dans le civil et de service ce jour-là ; par contre il pourra quand même compter sur son deuxième ligne Jean-Baptiste Ronçin, qui s'est débrouillé pour laisser son tablier de boucher à la maison. C'est dire que cette équipe alréenne est une surprise à ce niveau avec des joueurs amateurs dont les impératifs professionnels ne permettent pas de s'entraîner plus de deux fois chaque semaine. Ce qui les condamne donc à parfois rater des rencontres, même celles qui sont la raison d'être de leur vie sportive. Et dimanche, c'est le match de l'année face à Plouzané, en play-offs de Fédérale 3.

« On leur réserve une petite surprise »

Surtout qu'il y a des raisons d'y croire côté morbihannais. « Nous y allons sans pression, nous sommes qualifiés pour la première fois (pour les play-offs), tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes », résume Michel Gauthier, l'entraîneur.

Les Alréens savent qu'ils ne partent pas favoris sur ce match retour, malgré les neuf points d'avance récoltés à l'aller, dimanche dernier (26-17). Battu deux fois en saison régulière par les Finistériens, le Rac avait, cette fois-ci, bousculé son adversaire en conquête et était parvenu à faire vivre le ballon, « les recettes qui fonctionnent depuis le début de l'année ». Et pour avoir une chance de passer au tour suivant, le pack d'Auray devra se montrer plus costaud sur les mauls pénétrants, des situations qui leur ont coûté trois essais dimanche dernier. « On est moins puissants mais on leur réserve une petite surprise pour les contrer là-dessus », dit simplement le coach des « Bleu et Blanc ». Pas de gros coup non plus sans le jeu au pied de l'increvable relais des coachs sur le terrain, Thomas Le Barillier, 41 ans cette année, auteur de quatre transformations et deux pénalités à l'aller, et qui disputera le dernier match de sa carrière dimanche... À moins qu'une qualification ne prolonge le plaisir. « Avec lui, on ne sait jamais », dit Ludovic Caillonneau, l'entraîneur des avants. Avec cette équipe d'Auray non plus ! Dimanche (15 h)


 
 
 

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